Anton Cipriani
Admin • Observez-moi de haut en bas, vous n'en verrez pas deux comme ça
Date d'inscription : 29/03/2009 Nombre de messages : 667
▬ Age : 35
un po 'più su di te ▬ Âge du perso: 25 ans ▬ Emploi/Occupation: Mieux vaut ne pas savoir... ▬ Relations:
| Sujet: D'Anton Cipriani à Maddalena Baldovini [mail] Dim 7 Mar - 0:05 | |
| De: elvir.nongrata@syracusa.it A: lena.lo.contraffa@libertaria.it Objet: La fin justifie les moyens - Citation :
- Cher oiseau de malheur,
En cette belle journée de juillet, je vous envois mon mail numéro 13. Porte bonheur ? Allez savoir… Je n’ai pas vraiment d’informations croustillantes à vous donner aujourd’hui, vous savez celles que vous dévorez à chaque repas. J’ai eu vent d’un éventuel coffre vidé entièrement à la banque, une coquette somme je vous l’accorde. De l’argent sale peut être. La blanchisseuse passera par là. Ou pas.
La pizzeria attire beaucoup de monde ses derniers temps, la cuisine y est excellente. Vous devriez y faire un tour. Dommage que votre vie soit en danger si vous passez la porte.
Bien à vous. Anton relu plusieurs fois son message afin d’être sûr qu’aucune information vitale n’en ressorte. Il ne voulait pas trahir. Juste s’amuser. Cela faisait quelques temps déjà qu’il avait prit l’habitude d’envoyer des mails à cette chère journaliste. Il avait prit soin de prendre toutes les mesures nécessaires pour que l'on ne puisse remonter à lui avec un serveur et une adresse bidon par exemple.
Anton adorait littéralement lire ce qu’elle écrivait sur lui. Car oui, il était vraisemblablement son sujet de prédilection. Après tout, il aimait voir les potins totalement insignifiants sur papier glacé. Peut être avait-il l’impression d’être reconnu de cette manière ? Autre chose que se que pouvait lui apporter la famille. Famille dont il ne se déroberait certainement jamais, mais il aimait provoquer son père. Le voir râler après lui chaque fois qu’il découvrait une des conquêtes d’Anton dans le magazine. Cela dit, Nilo savait aussi reconnaître l’intelligence de son fils lorsqu’il donnait de faux tuyaux afin d’éloigner cette Maddalena, un peu trop curieuse à leurs goûts. Certains coups devaient être joués dans le calme. | |
|