| | LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » |  |
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+2Anton Cipriani LucaBella Varano 6 participants |
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LucaBella Varano
GOODBYE ✤ C'est votre vie et elle s'achève minute après minute
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|  Sujet: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 1:36 | |
| VARANO LucaBella « I'm a slow dying flower ; frost killing hour ; the
sweet turning sour and untouchable ; oh I need the
darkness ; the sweetness ; the sadness ; the weakness...»NATALIE MERCHANT I. Vivre à en crever.Date et Lieu de Naissance ▬ 1 juin 1984 - Syracusa, Sicile
Statut Marital ▬ Célibataire et elle ne peut même pas s'en plaindre car c'est entièrement de sa faute !
Occupation ▬ Mécancienne - Trafic de pièces volées pour le compte de la mafia
Des cris s’élèvent au bout d’une rue étroite et apparemment déserte. Il est tard, il fait étonnamment frais pour une soirée de juin. Et pourtant, un homme et une femme se tiennent là et se disputent violemment. Il est question d’enfant et de mariage. L’homme ne semble pas d’accord et repousse brusquement sa compagne avant de l’abandonner seule, au beau milieu d’une nuit sombre et sans étoile. Nous retrouvons cette même femme deux jours plus tard dans son appartement, un endroit petit et simple mais qui possède un certain charme. Elle se nomme Elena et l’homme qu’elle aime vient de la quitter en apprenant sa grossesse d’environ trois mois. Il ne veut pas de cet enfant, refuse d’assumer ses responsabilités et les belles années qu’il lui reste encore. Elena pleure depuis son départ, elle pleure sans pouvoir s’arrêter, elle pleure alors que plus une larme ne s’écoule. C’est le chaos dans sa tête où ses pensées tournoient et s’entrechoquent sans cesse, menaçant de se briser à chaque instant. Elles tournoient tellement vite, qu’il lui est impossible d’en saisir le sens. C’est le chaos dans sa tête, à en devenir folle. La jeune femme a oublié le prénom qu’elle avait choisit pour son enfant. Elle ne lui parle plus de sa voix claire et chantante, non elle l’interpelle durement en l’appelant systématiquement « Toi ! ». C’est un parasite, un insecte, une erreur qui lui a tout enlevé. Elena refuse de vivre sans lui, elle refuse de vivre avec lui. Elle se lève subitement, ouvre une armoire et en sort une bouteille d’alcool. Elle porte le goulot à sa bouche et boit frénétiquement. Elle boit encore et toujours, elle boit à en crever. Son cœur va éclater. Le soleil la surprend le lendemain matin, Elena peste contre une migraine atroce qui refuse de partir. Elle se sert un verre de whisky sans oublié d’y mettre un caché pour sa tête et porte une cigarette à ses lèvres en attendant qu’il se dissout. Les semaines passent, le cœur de la jeune femme s’est asséché. Il est craquelé de partout, il manque même des bouts à certains endroit, on dirait du crépit qui s’effrite. Elle s’observe longuement dans un miroir, ne peut détacher son regard de son ventre rond comme un ballon. Elle passe doucement la main dessus, ses caresses se font plus insistantes, elle appuie, de plus en plus fort puis finit par le rouer de coups en poussant des cris désespérés. « Si tu meurs, il reviendra. » Mais les mois passent et le bébé est toujours là, il s’accroche, il veut vivre. Neuf mois plus tard, il pousse son premier cris.Pendant une courte période de ma vie je me disais que maman m’aimait même si elle ne le montrait pas. Je n’était qu’une enfant alors, encore naïve, ne connaissant rien des dures réalités du monde dans lequel j’étais née. J’ai vite cessé de demander où était mon père et qui il était, c’était un sujet tabou et je l’apprit à mes dépends. Quelques années plus tard je ne me posais plus aucune question. Ma mère ne me portait aucun amour, les marques sur mon corps ne manquaient pas de me le rappeller et mon père qui s’est enfin montré un jour, a prit les jambes à son coup en voyant l’état de celle qu’il avait abandonné et ne se sentant toujours pas capable d’assumer le fait d’avoir une fille. Aujourd’hui je ne compte même plus le nombre de bouteilles qu’elle descend en une journée, ni celui des paquets de clopes qu’elle vide à vitesse folle.
Mais ça, tout le monde s’en fou ! C'est la vie Bella, c'est la vie !La musique se termina. Un lourd silence résonna étrangement comme si elle était en apesanteur puis, doucement, le son des voitures qui passaient en continue non loin de là lui parvint. Quand ce son s’amplifia jusqu’à devenir un bourdonnement, LucaBella qui était resté immobile de longues minutes sembla sortir de sa torpeur. Elle se secoua légèrement et grimaça en sentant des fourmis courir le long de ses jambes. Une petite brise joua quelques instant avec ses cheveux et s’en fut aussi soudainement qu’elle était apparue. L’adolescente remit d’un geste machinale une mèche derrière son oreille droite et consentit à se lever non sans pousser un soupire de résignation. Elle ne pouvait rester plus longtemps sur ce banc, elle le savait et cela resserra l’étau qui lui barrait la poitrine. Il fallait bien rentrer un jour même si ce qui l’attendait été loin, très loin de la réjouir. De plus, le soleil déclinait dangereusement dans un ciel orangé, abdiquant face à la nuit qui commençait petit à petit à gagner du terrain. LucaBella rangea donc son mp3 dans son sac à dos et prit le chemin du retour, mais sans se presser. Elle marcha en prenant son temps, le nez baissé sur ses pieds sans se préoccuper du monde qui l’entourait , rassemblant toute sa concentration pour faire les plus petits pas possible. Elle ne levait son regard que pour vérifier qu’elle pouvait traverser sans danger à un embranchement ou passage piétons. Cependant, l’adolescente avait eu beau marcher le plus doucement possible, il lui sembla que cela n’avait prit qu’une poignée de secondes. En traversant le petite et étroite allée qui menait à la porte d’entrée, LucaBella imagina ce qu’elle trouverait avec force détails.
D’abord, elle enfoncerait les clés dans la serrure puis les tournerait pour ouvrir la porte. Elle marquerait alors une pause qui lui servirait à prendre une inspiration de courage, car il lui en fallait pour affronter la réalité. Une fois cela fait, comme à son habitude, la porte s’écartera en gémissant, s’ouvrant sur un couloir sombre à cause des volets continuellement fermés. Elle entrerait, enlèverait ses chaussures une à une avant de les aligner contre le mur. La maison aurait une odeur de renfermé car jamais elle n’était aérée, du moins, toutes les autres pièces qui n’était pas sa chambre. Elle se rendrait ensuite dans le salon où elle s’arrêtera un instant pour que sa vue s’habitue à la semi-pénombre. Lorsque se sera le cas, la jeune fille regrettera alors amèrement sa précédente incapacité à ne rien voir. En soupirant, elle jetterait son sac sur le fauteuil le plus proche et irait vérifier si sa mère amorphe et allongée de tout son long sur le canapé respirait toujours. Bien sûr qu’elle respirait. Ensuite elle lui enlèverait des mains la bouteille d’alcool vide pour la placer avec les nombreuses autres sur la table qui prenait sordidement l’apparence d’un cimetière de verre. N’oublions pas la cigarette non fumée et entièrement consumée présente entre son index et son majeur gauche. Pour la millième fois au moins, elle se demanderait comment sa mère avait fait pour ne jamais foutre le feu à la maison. Dernière étape, la couvrir et filer à la cuisine pour préparer le repas avant qu’elle ne se réveille.
LucaBella tira une dernière bouffée de sa cigarette puis la laissa tomber au sol avant de l’écraser de son pied. Elle ferma les yeux, profitant des effets réconfortant de la fumée puis entra. Tout se passa comme elle l’avait prévu à quelques détails prêt. L’adolescente ne la trouva pas sur le canapé mais par terre, la tête dans une flaque de vomis. Cela arrivait parfois. Elle fut tentée pendant quelques secondes de la laisser là, dégoutée et tout se qu’elle représentait. La scène était plus que pathétique et aucun mot n’existait pour traduire ce « plus que pathétique ». Mais elle ne put s’y résoudre… Après tout c’était sa mère. Lucabella la souleva avec énormément de mal mais finit par y arriver, glissant son épaule droite sous son aisselle gauche, elle commença sa longue route vers la salle de bain. A mi-chemin sa mère poussa un gémissement et ouvrit les yeux, elle regarda quelques instant autour d’elle complètement déroutée puis se dégagea en poussant un cris de protestation. Elena ne disposa alors plus du soutient de sa fille et perdit l’équilibre, tombant lourdement par terre. Furieuse, elle foudroya l’adolescente du regard et cracha hystérique « Qu’est ce que tu fais ? Qui ta demandé de me déplacer ? ». Pas le moins du monde impressionnée et habituée à sa colère, LucaBella laissa passer quelques secondes et répondit stoïquement « Je t’ai trouvé dans ton vomis et j’ai eu pitié de toi, tu pues maman. » Le visage pâle d’Elena vira au rouge écarlate et ses yeux s’agrandir face à l’affront que venait de lui faire la chose qui vivait avec elle depuis des années. Le parasite qu’elle tolérait malgré son envie de le foutre dehors et de ne plus jamais le revoir. La femme, qui ressemblait plus à un squelette qu’à une femme, s’aida du mur pour se relever et approcha lentement de la jeune fille « Comment oses-tu me parler sur ce ton ? Comment oses-tu après toutes les choses que j’ai faite pour toi ? Je t’ai donné la vie et permis de vivre dans ce monde. C’EST GRÂCE A MOI QUE TU VIS ET NE T’AVISE PAS DE L’OUBLIER ! ». Elle se trouvait nez à nez avec sa fille, tremblante de rage, lui envoyant des postillons qu’elle ne contrôlait pas. Néanmoins, cela n’empêcha pas LucaBella de répliquer calmement « Et quelle vie ! Je peux savoir la nature exacte de " toutes ces choses que tu as faite pour moi " ? Je serais curieuse d’entendre ta réponse, toi qui ne sait rien faire d’autre que boire, te pisser dessus et dormir dans ton propre vomis ! » S’en était trop, la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le coup partit, suivit d’une rafale d’autres, encore et encore, toujours plus fort. L’adolescente ne répliquait jamais, elle se contentait d’encaisser sans broncher, cela aurait servit à quoi ? Elle ne pouvait pas partir, pas pour l’instant. Elle se protégeait cependant, se recroquevillait, amortissait quelques coups puis l’enfer cessa quand sa mère tomba à nouveau. L’alcool ne nourrit pas le corps mais l’affaiblit. Haletante, Elena se traina, décrétant que c’était loin d’être finit. Mais le jeune fille craqua et s’enfuit en courant sans tenir compte des cris de protestation de sa mère. Elle ouvrit violemment la porte et sortie sans prendre la peine de la refermer. Lucabella couru, elle couru jusqu’à une maison située au bout de la rue et sonna, à bout de souffle. Un jeune homme aux yeux bleu, un bleu incroyable qui faisait chavirer l’adolescente, ouvrit presque aussitôt. Marcus la dévisagea, remarquant l’équimose à côté de son œil gauche et le sang qui s’échappait d’une de ses lèvres fendue. Sans un mot il ouvrit en grand la porte et s’écarta. Maman, ne m’as-tu jamais aimé ? Cela n’a plus d’importance aujourd’hui. Je pars.
Dernière édition par LucaBella Varano le Sam 13 Mar - 23:41, édité 12 fois | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 1:36 | |
| II. Ces petits trucs qui font que nous sommes ce que nous sommes.▬ La jeune femme n'a pas eu une enfance toute rose et ne peut l'oublier. Les marques que sa mère lui a laissé sur le corps l'en empêche. Marques qu'elle cache de son mieux au regard des gens, auxquels elle invente quelque chose quand un curieux lui pose la question ou réplique froidement que cela ne le regarde pas.
▬ La jeune femme s'est promis en partant de chez elle, que plus jamais quelqu'un ne porterait la main sur elle.
▬ Elle a du devenir adulte plus tôt que les autres enfants. Les "grandes personnes" qui la côtoyaient s'étonnaient toujours de sa maturité.
▬ En vue de son passé, elle a une aversion totale pour l'alcool et se refuse à en boire, même pour essayer. LucaBella a d'ailleurs du mal avec les gens qui ont le verre facile et préfère s'en éloigner.
▬ Elle ne boit pas mais fume comme un pompier depuis de nombreuses années.
▬ La jeune femme est tombée amoureuse lorsqu'elle n'était qu'une enfant et ce sentiment n'a jamais disparu, de même qu'elle ne l'a jamais ressenti pour quelqu'un d'autre que Marcus. A l'époque ils étaient amis, il l'accueillait régulièrement chez lui après les crises d'hystérie de sa mère mais cela s'arrêtait là. Marcus n'a jamais vu Lucabella comme une femme et même encore aujourd'hui, alors qu'elle fait tout pour attirer son attention, il ne la remarque pas.
▬ D'ailleurs tout le monde lui conseille d'abandonner et de trouver quelqu'un d'autre mais elle n'y arrive pas. Et pourtant ce n'est pas faute d'avoir essayer.
▬ LucaBella possède un certain don pour la mécanique. Aujourd'hui elle en a fait son métier après avoir réussit à s'imposer quand on en lui a donné l'occasion. Elle travail pour le compte de la mafia en toute connaissance de cause et Dieu sait que cet univers n'est pas évident pour une femme. Mais elle s'est mise à aimer les défis.
▬ Le trafic de pièce volées qu'elle effectue pour la mafia ne lui pose aucun problème moral.
▬ Enfant, LucaBella était plutôt solitaire et n'avait pas beaucoup d'amis. Les autres la trouvaient bizarre et ne voulaient pas parler avec une fille dont la mère buvait à longueur de journée. Car ce n'était un secret pour personne. Au début elle en a beaucoup souffert puis, petit à petit, cela n'avait plus aucune importance. Mieux valait être seule que mal accompagnée.
▬ Aujourd'hui c'est une femme pleine de fougue, têtue et qui n'hésite pas à l'ouvrir quand il le faut. Son caractère est aussi réputé que son franc-parler.
▬ LucaBella a une colocataire qui n'est autre que sa meilleure amie et accessoirement la cousine de Marcus. Entre les deux jeunes femmes le courant est tout de suite bien passé et une rapide complicité est née. S'il lui arrivait quelque chose, LucaBella ignore comment elle réagirait.
▬ La jeune femme sait un peut jouer du piano, grâce à un ancien professeur qui l'avait pris sous son aile et lui donnait des cours de temps à autres.
▬ On ne dirait pas comme cela mais c'est une grosse mangeuse. LucaBella a tout le temps faim et s'enfile des quantités étonnantes sans se préoccuper de sa silhouette, qui de toute manière, ne change jamais.
Alcool ou Soft ? Soft
Magazines ou Livres ? Livres
Blond(e)s ou Brun(e)s ? Peut importe
Pizza ou Pâtes ? Pâtes Que pensez-vous de l'omerta ?
L’omerta qui s’apparente à la loi du plus fort. Une pratique que LucaBella n’approuve pas bien qu’elle soit au service de la mafia. Elle ne se sent pas concernée, du moins elle essaye et reste à l’écart de tout cela. Il n’est pas évident de faire profil bas tout en se faisant entendre et un minimum respecter mais pour l’instant elle y arrive et touche du bois pour que cela continue. Tuer quelqu’un qui vous a trahit en toute connaissance de cause est une chose, tuer les personnes qui lui sont chères pour montrer l’exemple et enfoncer le couteau dans la plaie en est une autre. Trafiquer des pièces volée est une chose, faire couler le sang en est une autre. Mais l’omerta est ce qui permet à la mafia de continuer ses actions en se protégeant et c’est ce qui est le plus efficace. Entretenir la peur est la clé du pouvoir et tout homme en est conscient.
Que pensez-vous du pizzo ?
LucaBella entretient des avis plutôt contradictoire concernant le pizzo. Sans doute a-t-elle du mal à être objective étant donné ses activités illégale qui pour autant ne l’empêche pas de se regarder tous les matin dans un miroir. Son boulot lui a donné la force de se reconstruire et de mener sa vie comme elle l’entend, son métier lui a permit de s’épanouir tant au niveau de son caractère qu’au niveau de sa féminité. La mafia est dangereuse, la mafia a des pratiques plus qu’illégales mais la mafia maintient un semblant de paix et un équilibre économique non négligeable à Syracuse et les commerçant paient pour en bénéficier. Cependant le prix de cette protection est à prix bien élevé et lorsqu’elle n’est pas payée, les punitions s’avèrent brutales. Alors on ferme les yeux et on oublie ce qu’est la liberté. Mais d’un côté… Que faire d’autre ? Pseudonyme/Prénom ; Pulp ou Purple rain
Âge ; 19 ans
Fille ou Garçon ; Fille
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Groupe choisi ; Sostenitori
Code du Règlement ; code ok
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Dernière édition par LucaBella Varano le Sam 13 Mar - 23:41, édité 11 fois | |
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Anton Cipriani
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 2:11 | |
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Cierra Loconte
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 2:21 | |
| Bienvenue. Bon courage pour la fiche. Merci par contre de remplir au moins la dernière partie.  | |
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LucaBella Varano
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Anton Cipriani
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 15:28 | |
| Ben t'as pas à t'excuser, c'est pas grave. | |
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Maddalena Baldovini
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 15:45 | |
| Bienvenue parmi nous PULP  Contente de voir que tu nous as suivi ! Bonne chance pour la fiche | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 18:15 | |
| Merci Margaux ! | |
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Cierra Loconte
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 19:17 | |
| Pulp !!  Je t'avais pas reconnu. Cool, on va pouvoir RP ensemble comme ça. | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 6 Mar - 19:31 | |
| MDR oui et en plus on est pas ennemie cette fois-ci, bien au contraire ^^
J'avoue que le " Devine " en pseudo c'est pas top ! | |
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Camael Guantieri
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 7 Mar - 0:26 | |
| Chris ! Je l'ai déjà dit mais tu gères la fougère avec Ian  Merci en tout cas. | |
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Camael Guantieri
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 7 Mar - 0:29 | |
| Sur Prelude mon brave. En tant que loup oui, on verra ce que ça donne ici ! On va pouvoir étendre notre réseau de la perversité  | |
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Camael Guantieri
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 7 Mar - 0:33 | |
| Et ouai. Moi aussi je gère à ma manière qu'est ce que tu crois ? XD
Aucun soucis, j'avais prévu d' harceler un peut tout le monde de toute manière. | |
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Silvio Gagliardi
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Lun 8 Mar - 17:12 | |
| Salutations Pulp (vu que Jude a l'air de te faire de l'effet, je ne pouvais que venir de souhaiter la bienvenue!) | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Lun 8 Mar - 20:04 | |
| C'est gentil Lee merci  Il faut dire que pas mal d'acteurs me font de l'effet en fait... XD | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Sam 13 Mar - 23:42 | |
| Double poste pour vous prévenir que ma fiche est terminée.
J'aurais bien voulu en faire plus mais... finalement non xd ^^ | |
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Maddalena Baldovini
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 14 Mar - 1:08 | |
| Superbe fiche mademoiselle ! Validée, bien sur | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 14 Mar - 1:36 | |
| Merci beaucoup Par contre tu t'es trompée de groupe Margaux, Bella est une sosterino ^^ | |
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Maddalena Baldovini
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 14 Mar - 1:52 | |
| (a)
Je change ça, ni vu ni connu ! | |
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Cierra Loconte
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 14 Mar - 2:06 | |
| Magnifique fiche. Je te jure. | |
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LucaBella Varano
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » Dim 14 Mar - 14:47 | |
| Ha bah je suis contente qu'elle plaise.
Ce personnage m'a touché ça doit être pour ça ^^ | |
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| | Sujet: Re: LUCABELLA « Je vais bien ne t’en fais pas. » | |
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