Della crudeltà e pietà
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 Cierra Loconte • « Et trois par trois »

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Cierra Loconte
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Cierra Loconte


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MessageSujet: Cierra Loconte • « Et trois par trois »   Cierra Loconte • « Et trois par trois » EmptySam 23 Mai - 1:52

LOCONTE; Cierra
Cierra Loconte • « Et trois par trois » 1zp7jpt *
« Tous les dragons de notre vie ne sont peut-être que
des princesses qui attendent de nous voir heureux ou courageux. »

I. Vivre à en crever.
      Date et Lieu de Naissance ▬ le vingt-et-un février 1984 à Rome, Italie.
      Statut Marital ▬ en instance de divorce de Guillermo Loconte.
      Occupation ▬ serveuse au Sueva


    Ciao Bella, tu manques à ma vie.

    Elle avait pris sa décision. Cela avait été difficile. Elle n’avait d’ailleurs cessé de la repousser à l’infini. Qu’attendait-elle ? Que l’irrémédiable se produise et qu’elle ne puisse plus jamais revenir en arrière ? La raison pour laquelle elle s’y était pliée était évidente. Il était toujours difficile d’enterrer son premier amour. Celui qu’on pense éternel. Elle avait cru aux promesses de Guillermo. Lorsqu’il lui murmurait dans le creux de l’oreille qu’ils s’enfuiraient loin d’ici. Que jamais elle ne se retrouverait enfermée dans un mariage malheureux comme sa mère. Qu’elle était trop forte et fière pour être réduite au rang d’objet sexuel et de femme de ménage totalement soumise aux exigences de son époux. Elle avait cru à l’avenir radieux que Guillermo lui promettait. Une maison en bord de mer. Ils vivraient d’amour et d’eau fraîche. Bien sûr rien n’avait été parfait entre eux. Rien n’avait jamais été simple non plus. Et pourtant dès le départ, il avait été une évidence pour elle.

      Dix ans auparavant,

      Elle avait rongé la situation dans laquelle elle avait mis Leonardo. Elle s’en voulait terriblement. Elle était devenue la fille superficielle qui collectionnait les petits amis avec une insouciance qui la dégoutait. Elle était devenue ce que Rosalia, son ancienne meilleure amie et désormais ennemie, l’avait menacé. Pourtant, Leonardo était un garçon bien. Sa famille l’aimait beaucoup et elle ne comptait plus le nombre de fois où il l’avait hébergé quand son père avait prévu une beuverie avec ses amis alcooliques et aussi violents que lui. De cela, elle lui en était reconnaissante. De la même manière, il l’avait attendu sans la presser. Elle n’était pas prête à passer le cap qui la séparerait à tout jamais de sa part d’enfance. Et Leonardo l’avait attendu, sans la presser, sans la forcer à quoi que ce soit. Il était vraiment parfait. Alors la raison pour laquelle elle avait rompu avec échappait à tout le monde. Elle la première. Ce n’était pas à cause d’un autre. Ce n’était pas davantage à cause de Rosalia qui ne cessait de tourner autour de lui. C’était juste qu’elle s’était lassée. Elle ne l’aimait pas, si jamais elle l’avait jamais aimé.

      Pour autant, elle n’aurait pas dû le traiter de la sorte. Elle le regrettait amèrement. Il ne méritait pas la façon dont tout avait été terminé entre eux. Alors, elle avait pris son courage à deux mains. Et elle avait été à pied jusque chez lui, se soustrayant avec bonheur à l’ambiance lourde de la maison. Même lorsque son père était au travail, son ombre continuait de planer sur les femmes de la maison. Et sa mère, devenue le maillon fort de l’habitation, ne se priait pas pour exercer ce pouvoir fugace et illusoire sur son unique fille. En sortir était une véritable bouffée d’air frais. Parvenu devant la porte de Leonardo, elle se figea quelques instants. Etait-ce une si bonne idée de venir s’excuser et de prendre de ses nouvelles ? Il ne le prendrait peut être pas bien. Prenant une profonde inspiration, elle frappa à la porte, faisant les cents pas. Lorsque cette dernière s’ouvrit, elle se retourna brusquement vers la personne qui se trouvait derrière, prête à s’excuser ou à négocier pour pouvoir lui parler. Mais aucun mot ne sortit de sa bouche tandis qu’elle observait la haute silhouette inédite.

        GUILLERMO – Je peux vous aider ?

      Elle mit un certain temps à réagir. Elle sentait déjà ses joues rosir et les rayons dardant du soleil n’avaient rien à voir dans l’histoire. Son cœur battait la chamade. Son estomac avait du mal à se remettre du grand huit qu’il venait de subir. Rien à voir avec la surprise pour le coup. Finalement, elle se redonna une contenance, et incapable de détacher son regard des yeux profonds du jeune homme devant elle, prit finalement la parole :

        CIERRA – Je suis venue voir Leonardo.
        GUILLERMO – Je crois que pour le moment, il n’est pas d’humeur à voir qui que ce soit.
        CIERRA – Oh …
        GUILLERMO – Je suis son grand frère, Guillermo. Je viens de rentrer de mon service militaire. Vous êtes …
        CIERRA – Euh … enchantée, je suis Cierra.
        GUILLERMO – Ah, la fameuse Cierra. Je comprends mieux la raison de son état dans ce cas.


    Elle aurait dû écouter sa mère lorsqu’elle lui avait déconseillé de sortir avec le frère aîné de son ancien petit ami. Elle aurait dû suivre ses conseils et refuser sa demande en mariage. Elle aurait dû voir la catastrophe venir. Pour une fois que sa génitrice avait raison. Elle allait subir ce que sa mère avait subi avant elle. Et comme elle s’était retrouvée enchaînée par un amour dont elle était persuadée qu’il l’élèverait plutôt que ne la coulerait. Elle avait mis du temps. Elle l’avait menacé milles fois de le quitter. Elle avait claqué la porte milles fois. Mille fois, il l’avait supplié de revenir. Mille fois, il lui avait juré ne plus jamais recommencé. Et milles fois elle était revenue. Mais cette fois-ci, elle avait décidé de prendre son courage à demain. Cette fois-ci, elle partait pour de bon.


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MessageSujet: Re: Cierra Loconte • « Et trois par trois »   Cierra Loconte • « Et trois par trois » EmptySam 23 Mai - 1:52

    J’entends cogner mon cœur

    Cela faisait deux semaines que Cierra était installée à Syracuse. Sa tante maternelle l’avait accueilli avec bonheur et enthousiasme la première semaine. La jeune femme lui était reconnaissante pour tout ce qu’elle faisait pour elle. Elle l’avait aidé à trouver un appartement. Certes, il n’était pas dans le quartier le plus recherché de la cité mais il était à elle et à elle seule. Elle pouvait y être tranquille sans se mettre à trembler de tout son être en entendant la porte d’entrée claquer. Elle l’avait également aidé à trouver u n emploi en parlant de sa situation à Ottavio, le gérant d’un café dans le centre historique de Syracuse. Elle était intégrée. Son cousin, avec qui elle jouait pendant ses vacances d’enfance, lui avait présenté ses amis, ses connaissances et lui avait montré tous les endroits qui valaient le détour. Ils n’étaient plus aussi proches qu’avant mais ils s’adoraient toujours autant. Les premiers temps, il avait même joué le rôle d’ange gardien, veillant à ce qu’aucun de ses copains ne se comportent mal avec cette femme mariée.

      OTTARIO – Tout se passe bien ?

    Cierra releva la tête vers son patron et lui sourit en le gratifiant d’une petite grimace angoissée. Ses longs cheveux blonds avaient été attachés à la va-vite et encadraient son visage de mèches lâches. Elle semblait débordée et totalement apeurée comme à son habitude. Mais elle passa au dessus de sa panique temporaire en observant le regard azur et bienveillant d’Ottario.

      CIERRA – Euh oui, le mokaccino, on met du lait demi-écrémé, c’est ça ?
      OTTARIO – Non pas vraiment. Ca c’est le capuccino. Le moka, tu mets des brisures de chocolat et tu y verses la café avant d’y mettre la crème fouettée.

    Il passa de l’autre côté du comptoir et l’aida à préparer sa commande. Au bout d’une semaine, elle aurait dû commencer à emmagasiner les informations. Mais la vérité était que c’était trop de bouleversements en si peu de temps. Elle qui était habituée à ne rien voir changer, à rester en place en priant pour que la tempête passe. Elle se retrancha derrière lui, observant avec envie ses gestes rapides et assurés. Il connaissait parfaitement son travail et la jeune femme espérait sincèrement qu’un jour elle parviendrait à une telle maîtrise.

      OTTARIO – Voilà, c’était simple.
      CIERRA – Merci.

    Il la gratifia d’un clin d’œil avant d’aller retrouver son ami avec qui il prenait sa pause sur la terrasse. L’italienne l’observa s’éloigner et avant qu’il ne le remarque, elle retourna à ses occupations. Elle voulait bien faire. Elle devait bien faire. C’était une toute nouvelle vie qui débutait pour elle. Bien sûr il y aurait des pots cassés au début. Bien sûr, cela ne serait pas tous les jours facile. Mais globalement, elle était persuadée que maintenant tout allait bien se passer.

      LUCABELLA – Quand j’étais à ta place, il était bien moi coulant.

    Cierra rit doucement à l’intervention de son amie et nettoya le comptoir sans poser les yeux sur elle. Elle la connaissait déjà par cœur. Après tout, elles partageaient le même appartement et s’entendaient à merveille. Comme si elles s’étaient toujours connues. Ce qui était vrai en quelque sorte. Elle avait un vague souvenir de cette petite fille qui était toujours collée aux basques de son cousin quand ils étaient enfants. Ils avaient grandi depuis mais rien n’avait changé. Du moins, du côté de la sicilienne. Cierra passait son temps à tenter de lui faire prendre conscience que les sentiments de son cousin à son égard n’avaient pas le même équivalent. Mais LucaBella s’en ficheait. Elle-même répliquait sur les sentiments d’Ottario à l’encontre de Cierra. Cette dernière préférait l’ignorer. Elle n’était pas quelqu’un de bien. Et son employeur méritait quelqu’un de bien.

      LUCABELLA – Et pourtant, je faisais beaucoup moins de bêtises. Mais il faut dire que je le laissais indifférente.
      CIERRA – Bella …
      LUCABELLA – Enfin, je dis ça, je ne dis rien.
      CIERRA – Si c’est pour ne rien dire, tu ferais mieux de te taire.


***


    D’autres à rêver

    La journée avait été longue bien sûr. Elle l’était toujours mais Cierra était heureuse comme ça. Elle n’avait plus à angoisser le soir parce qu’elle rentrait plus tard que prévu. Elle pouvait accepter d’aller boire un verre avec des amis sans craindre de devoir affronter son mari éméché qui ne manquerait pas de lui reprocher de l’abandonner. Elle pouvait dormir tranquillement sans sursauter de terreur en entendant une porte qui claque dans le couloir. Les premiers temps et encore aujourd’hui, elle ne pouvait s’en empêcher pourtant. Toutefois, globalement, elle était heureuse et apaisée. Et même si le travail était pénible, même si les clients étaient parfois insupportables, même si des coups de feu résonnaient de temps à autres et que Syracuse n’était pas la ville la plus sûre de Sicile, elle était en paix avec elle-même. Et c’était bien ça le plus important. Se préoccuper enfin d’elle-même et d’elle seule. Attrapant son sac, prête à aller faire ses courses durant sa pause bien méritée, la jeune femme salua son patron qui avait pris les commandes et sortit, ne s’arrêtant que quelques instants pour trouver dans son sac, son portefeuille histoire de le mettre par-dessus et donnée non négligeable pour ne pas découvrir arrivée à la caisse qu’elle l’avait oublié chez elle ou sur son lieu de travail.

    Sa mère lui avait pourtant enseigné. Elle n’avait pas raté les nombreuses campagnes contre la délinquance routière et celles de prévention pour les accidents de la route. Mais Syracuse était une ville tranquille quand elle n’était pas à feu et à sang en raison des rixes entre mafia et police dont, comme la majorité des habitants, elle préférait ne pas se retrouver mêlée. Elle jeta un léger coup d’œil à droite, oubliant sa gauche, obnubilée par ce fichu sac à la Mary Poppins. Elle entendit le vrombissement du petit bolide qui arrivait à toute vitesse trop tard. Elle ne se rendit compte de ce qu’il venait de se passer qu’une fois au sol, tête contre terre. Elle eut du mal toutefois à analyser la situation durant quelques minutes. Pourquoi le bitume lui servait-il d’oreiller ? Pourquoi ses mains se retrouvaient-t-elles vides alors qu’une seconde auparavant, elles étaient plongées dans son sac ? Et cette douleur qui l’envahissait progressivement, cet oxygène qui avait du mal à rentrer, ce liquide poisseux et brûlant qu’elle sentait s’égoutter de ses cheveux, pénétrant dans ses oreilles de la manière la plus agaçante qui soit.

      ANTON – Vous êtes pas un peu malade de vous jeter sous mes roues comme ça ?

    Cierra papillonna des yeux, tentant de fixer son regard qui se faisait flou et légèrement rouge. Elle avait du mal à le maintenir, tout tournait trop vite. Elle voulut se relever mais ses bras, ses jambes lui semblaient en coton et refusaient obstinément de bouger, de lui obéir. Elle avait déjà vécu ça par le passé. Trop de fois ressenti cette sensation où tout ce qu’elle pouvait faire était d’attendre allongée là que ça se passe. Elle eut conscience de la troupe qui s’était formé autour d’elle. Elle entendait les discussions vivaces alentours. Le Sueva était rempli à moitié à cette heure là. Mais elle ne prêtait aucune attention à ces charognards qui se contentaient d’observer plutôt que de venir aider. Non toute son attention était portée sur le jeune homme aux yeux d’un bleu pur qui se trouvait face à elle et qui s’était agenouillé près d’elle.

      ANTON – Rien de cassé ?

    Rien de cassé. Elle prit alors conscience de la douleur qui la lancinait depuis tout à l’heure dans son bras droit. Si, il y avait quelque chose de cassé. Une fois de plus mais cette fois-ci, les témoins pourraient confirmer que ce n’était pas une chute dans les escaliers.

      CIERRA – Ca va aller …

    Elle tenta de se mettre en position assise, son attention résolument détournée de ce jeune homme dont le visage lui rappelait vaguement une vieille connaissance mais sur lequel elle ne parvenait pas à mettre de nom. Mais la Terre tourna à nouveau à une allure vertigineuse et elle sentit son corps faire de même.

      CIERRA – Ou pas. Je vais peut être m’allonger encore quelques instants.

    Elle ferma les yeux quelques instants mais ne put s’empêcher de les rouvrir, de plonger son regard dans celui du conducteur. C’était étrange et stupide puisqu’il était la raison de l’état lamentable dans lequel elle se trouvait, mais elle le prit pour un ange. Il n’en avait pas l’air avec ses cheveux gominés et ses allures de bandit de haut vol. Mais ses traits doux, ses lèvres fines, et ses yeux si bleu que la couleur du ciel à côté paraissait bien fade lui donna l’impression d’être finalement entrer en harmonie. Elle ne put s’empêcher de lui sourire doucement, comme pour le remercier d’être venue la chercher aux portes du paradis.


Dernière édition par Cierra Loconte le Lun 8 Juin - 16:40, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Cierra Loconte • « Et trois par trois »   Cierra Loconte • « Et trois par trois » EmptySam 23 Mai - 1:52

II. Ces petits trucs qui font que nous sommes ce que nous sommes.

    ▬ Elle est allergique aux framboises. Elle se retrouve perclue de plaques rouges qui la démange à un point inimaginable.
    ▬ D'ailleurs, elle a aussi droit à ces magnifiques plaques rouges lorsqu'elle est stressée et doit parler en public.
    ▬ C'est une écologiste convaincue qui n'a pas de voiture et préfère utiliser le bus ou le vélo.
    ▬ Lorsqu'elle était une jeune adolescente, elle était amoureuse de son professeur de mathématique. Une fois, elle l'a suivi et a fait exprès de lui rentrer dedans au restaurant alors qu'il dînait avec sa petite amie d'alors. "Oh mon Dieu, vous ici ? Quelle surprise !" Ca ne l'a pas beaucoup avancé avec.
    ▬ Elle est totalement effrayée par les Teletubbies. Elle clame souvent qu'elle a crée une nouvelle phobie à cause d'eux.
    ▬ Malgré son mariage, elle est une incorrigible romantique et pleure pour un rien. Plus d'une fois, elle est tombée en plein milieu d'un film et se mettait à pleurer de voir les héros se réunir ou se séparer alors que ça faisait à peine deux minutes qu'elle regardait. Et quand elle pleure, ce n'est jamais à moitié.
    ▬ Elle n'est pas une cuisinière terrible.
    ▬ Une fois, elle a même mis trois heures et demie pour faire une simple salade.
    ▬ Elle a un joli filet de voix mais ne chante que sous la douche ou lorsqu'elle est seule.
    ▬ Son passe-temps favori est de lire un bon bouquin, assise face à la mer ou à l'ombre d'un jardin.

      Alcool ou Soft ? Soft. Elle a de mauvaises expériences avec les dégâts de l'alcool.
      Magazines ou Livres ? Livres.
      Blond(e)s ou Brun(e)s ? Plutôt bruns mais elle n'a pas vraiment de genre définis.
      Pizza ou Pâtes ? Pizzas. Elle a du mal à supporter la tendance italienne à manger des pâtes dans tous les plats.



III. Être un libre-penseur.

    Que pensez-vous de l'omerta (= c'est la loi du silence imposée par la mafia. Les non mafieux ont peur des représailles qui attendent celui qui parlerait. Cette loi implique que la personne trahie doit tuer le coupable. ) ?
      Je préfère ne pas avoir à l'appliquer un jour. Je ne trouve rien de fascinant chez ces personnes comme certains peuvent pourtant en éprouver. Certes, il peut y avoir une certaine lueur, un peu comme la lampe du jardin qui attire les papillons de nuit. Mais elle les aveugle, elle leur brûle leurs ailes. J'ai assez souffert comme ça par le passé pour tenter de me faire prendre au piège de la lumière. Pour autant, je n'oublie pas le mal qu'ils peuvent causer. Ils assassinent, ils rackettent les honnêtes citoyens et ces derniers se taisent. Je me vois mal placée pour leur faire la leçon pour autant. Dire les choses, ne pas les taire et révéler au grand public la vérité, il faut oser. Il faut avoir du courage. Je n'ai aucun courage.


    Que pensez-vous du pizzo (= les commerçants payent en échange de protection et autre services)?
      Je le trouve révoltant bien évidemment. C'est un peu trop facile d'obtenir de l'argent sans travailler, d'obtenir le dur labeur d'autrui juste pour de la protection. Mais la protection de quoi ? D'eux même ? C'est du rackett, ni plu, ni moins. Je le vois bien avec Ottavio. Je suis d'ailleurs tout à fait d'accord avec lui. Malheureusement, il ne semble pas y avoir d'autres solutions. Il faudrait que tous les commerçants se révoltent et sachent dirent non. Mais jamais ils ne le feront. Et qui suis-je pour leur dire de le faire ? Avec mon passé, je n'ai aucune leçon à leur donner.



IV. Une personne peut en cacher une autre.

    Pseudonyme/Prénom ; Nepy.
    Âge ; 25.
    Fille ou Garçon ; F.
    Célébrité ; Mélanie Laurent.
    Code du Règlement ; //
    Comment avez-vous découvert le forum ? Bah c'est mon bébé avec Maëva.
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