Guillermo Loconte |U.C|

GUILLERMO LOCONTE
Guillermo Loconte |U.C| 1273612364373

"Nous ne dépendons pas de -toujours-, mais -d'encore-"

Hervé Bazin

I. Vivre à en crever

Date et Lieu de Naissance ▬ 22 Mars 1980 à Milan
Statut Marital ▬ En instance de divorce de Cierra Loconte
Occupation ▬ Ancien militaire. Demandeur d'emploi

II. Ces petits trucs qui font que nous sommes ce que nous sommes.

|> Guillermo est Claustrophobe, il n'aime pas être enfermé dans des endroits trop étroit, ou rien que l'idée d'être enfermé dans une pièce.
|> Il à un penchant pour l'alcool surtout les millésimes et dépense sans compter s'il s'agit d'un bon cru.
|> Deteste les animaux, il a souvent eu de mauvaise expérience avec les chiens ou les chats et depuis ce temps il rejette tout ce qui se trouve être un animal famillier ou non.
|> Il est fan de musique de Rock Anglaise et peux passer des heures à chanter en même tant que le poste de radio.
|> Adolescent, il a faillit sombrer dans la drogue mais son père l'ayant un jour sur pris l'a remis sur le droit chemin.
|> il a fait la première fois l'amour à l'age de 14 ans avec une prostituée du nom d'Anna.
|> il déteste les femmes trop sophistiquée, pour lui la beauté est dans le naturel.
|> il supporte l'Inter de Milan et ne rate jamais une occasion d'aller les supporter dans un stade.
|> il joue d'ailleurs très bien au football mais n'a jamais eu envie d'en faire sa vocation.
|> Petit, il était amoureux de Monica Bellucci
|> Vers 8 ans, il voulait être pilote de chasse.
|> Guillermo adore les Kinder Bueno, c'est son péché mignon!
|> Il est Fidèle en amitié comme en amour, et n'a jamais trompé Cierra.
|> Il est allergique au picure d'abeille, au cuir et au soja.
|> Son rêve est de visiter le Mexique.
|> Il adore les enfants et rêve de pouvoir être papa à son tour.
|> Desteste le parmesan et le lait.

Alcool ou Soft ? Alcool
Magazines ou Livres ? Livres, surtout un auteur français Guillaume Musso
Blond(e)s ou Brun(e)s ? Brunes
Pizza ou Pâtes ? Pâtes, le spaghettis à la carbonara reste son plat préféré

III. Être un libre-penseur.

Que pensez-vous de l'omerta ?

Je suis totalement pour même si aujourd'hui j'en ai peur. Je ne compte pas trahir mais je sais que je devrais accomplir des choses qui ne sont pas dans ma nature et la pression pourrait me faire craquer. Je n'ai pas peur de mourrir mais pas avant d'avoir accomplis ce que je dois accomplir.

Que pensez-vous du pizzo ?

C'est honteux bien sur! C'est du Racket sans aucun autre mot. Mais je comprend la pression exercée sur les commerçant. J'en serais un je pense que je ferais pareil. On paye pour garantir sa sécurité. Tout est payant dans ce monde, et si malheureusement tu n'a pas d'argent, tu n'es personne.

IV. Une personne peut en cacher une autre.

Pseudonyme/Prénom ; Julio
Âge ; 24
Fille ou Garçon ; Gars
Célébrité ; Romain Duris
Groupe choisi ; Sostenitori
Code du Règlement ; code ok.
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|> DE BATTRE MON COEUR S'EST ARRETE >|

Guillermo Loconte |U.C| 1273752167420

Les choses de la vie font que ceux à qui nous faisons les promesses de ne jamais se quitter, finissent toujours par ne jamais aboutir. Le destin fait, quand à lui, Accomplir ce qui doit être accomplis, Réunis ce qui doit être Réunis, le hasard n'a aucunement sa place dans ces choses là. Le gens changent et camarade de classe qui était autrefois juste de bon amis, deviennent parfois bien plus que cela. "il était une fois" raconte les histoire pour enfant. Il était une fois la vie et ce qu'on ne peut éviter, la vie et ceux qu'elle nous pousse à ne pas repousser. Les contraires s'attire, et nous n'avons parfois pas les même valeurs, ni la même morale, ni les mêmes chemin. Pourquoi? Personne n'a encore jamais eu de réponse... ou certains diront... C'est la vie...

Le Soleil avait décidé de repointer le bout de ses rayons. Le printemps venait à peine d'arriver et l'on pouvait déjà entendre les oiseaux matinaux bercer la brise du vent qui ,tel une danse majestueuse, faisait balancer les arbres de droites à gauche. Entre la pluie ou la neige, on ne peut pas dire que ces dernier temps l'Italie fut l'endroit Idyllique pour flâner en plein air. Je m'était réveillé tôt ce matins là et à travers la vitre de la pitoresque bâtisse qui me servait de demeure, je restait cloitré un bon moment plongé dans le peu de souvenir qu'il pouvait me rester. Toujours ces même rêves qui me rapelle que j'ai tout gaché. Ces draps de sang ou elle me regarde les yeux remplit de larme me suppliant d'arrêter. Ce cauchemar à me revoir lever la main sur elle jusqu'à ne plus garder le contrôle de cette main qui frappe et qui frappe encore, de plus en plus fort. Les souvenirs sont un sentiment assez étrange quand on y pense, ils peuvent nous transmettre une certaine nostalgie mais aussi vous réveillez en instant les plus dur moment de votre existence. Ce sentiment de culpabilité me ronge au plus profond de moi, alors que je sais que cette fois-ci elle ne me pardonnera pas que toutes ces promesses n'ont plus aucune valeurs. J'ai cet peur qui m'enivre à chaque fois que j'ouvre les yeux, à chaque fois qu'un nouveau jours se lève. La peur de perdre celle que j'aime tant, la première femme qui à put me faire croire en quelque chose dont je n'avais jamais cru. Celle qui dès le premier regard, à réveiller mon coeur d'un grand coup de poing qui aurait mis K.O le plus grand des boxeurs. Celle qui d'un sourire, me donnait les ailes d'aller lui décrocher la lune que tant d'homme avait pu promettre à leurs bien-aimée. Aujourd'hui je fais partie de ces hommes, lâche et petit qui n'ont pas eu la noblesse de faire vivre à leur princesse le compte de fée qui avait était tant mirroiter. Je me servis un énième verre de Cognac Français à plus de 150 euros la bouteille et je contemplais le liquide caresser le fond du verre avec volupté et raffinement. Le délicat parfum qui autrefois me faisait saliver n'était plus que l'odeur pestilentielle des regrets et de la solitude. L'alcool glissait mainenant le long de ma gorge me rappellant quel goût amer avait ses crises de colère et ses disputes incéssantes. C'est à présent tout ce qu'il me restait. Je n'ai plus de famille ou du moins les dernières paroles que j'ai pu avoir à leurs égard ne les feront pas se soucier de mon état moral. Avoir renié mon propre frère et lui avoir planté ce poignard si tranchant dans le dos pour cette fille qu'il aimait tant. Cette fille que j'aime tant. Qui à son tour m'a échappé. L'oiseau enfermé dans sa cage d'un amour trop fort, à finit par s'envoler à la moindre brise d'air, à la moindre sensation de liberté qu'il n'avait plus. Certain diront que même si sur le plan affectif il se retrouve seul, il leur reste toujours leurs boulot pour se changer les idées, un boulot où il trouve leurs échappée. Même ça je l'ai perdu. Ma carrière militaire était ma plus grande fierté, il a fallut que je gache ça aussi. Que me reste t'il comme échappatoire? L'alcool et ses mérite de vous relaxer et de vous emmenez dans un autre monde paisible ou tout en quoi vous avez toujours eu foi existe toujours. Je sais que trucider mon foie n'est cependant pas la bonne solution. Alors que-dois je faire? Mettre fin à mes jours tout de suite plutôt que de me menacer avec une bombe à retardement? Je pourrais oui...je pourrais aussi recommencer tout à zéro. Un nouveau boulot pour commencer, puis de nouveau amis, et pourquoi pas un nouvel amour. Mais comment pouvoir recommencer une partie si pour moi celle d'avant n'est pas terminée. Je ne peux pas sacrifier mes dernières pièces sous prétexte que mon adversaire n'a plus envie de jouer. "Echec", peut être mais tant que je n'ai pas pensé au pire, il n'y aura pas de "Math". Je regardais un long moment les derniers centilitre du poison brunâtre avant de reposer mon verre sans le quitter des yeux. l'allumette se frotta au souffre si vigoureusement qu'elle alluma rapidement la cigarette que je venais de poser sur le coin de mes lèvres. Celle là aussi voulait ma mort, mais j'étais bien déterminé à continuer de vivre pour et avec celle que le destin avait mené jusqu'à moi.

|> UN NOUVEAU DEPART >|

"je crois en mon étoile, en ma chance, même si plus rien ne brille. Dans le noir j'aperçois encore ce filament de lumière qui me pousse à aller de l'avant et à persister. M'accrocher à mon oxygène, respirer à plein poumon la fraicheur d'un amour peut être pas perdu. L'on tombe parfois de haut, mais n'est-il pas pour mieux se relever. J'avance à l'aveugle guidé par son parfum. J'avance mais je n'entend plus rien, juste ses éclats de rire. j'avance et je ne ressens plus rien juste mon coeur, qui re-bat...qui re-bat..qui re-part...qui re-nait..."

je m'apprétais à sortir lorsqu'on frappa trois coup très distinct à la porte. Qui pouvait me rendre visite à cet heure si matinale? Un regard dans l'oeil de boeuf me suffit pour distinguer les trait de celui avec qui j'avais passé mes dernières années. la porte à présent bée je tournais les talons sans même le saluer et servit deux nouveaux verres de Cognac.

Sabatino | ey! C'est comme ça qu'on salue son vieux pote de cellulle? Dans mes bras mon...Waouh! C'est un vrai foutoir ici...mais... qu'est ce qui pue comme ça?

Sans même me retourner et sans prononcer le moindre mot je m'avançais vers lui en lui offrant son verre. Il devait avoir raison, il se dégageait une odeur de renfermé et de pourriture mais vu que je n'avais pas quitté mon appartement depuis plus de quinze jours, je devais être dans cet odeur et par ce fait ne pas la sentir. Il avait raison également sur la pille de linges qui jonchait le sol et les dizaines de bouteilles vides ou encore quelques mégots de cigarette. Malgrès que soleil avait pointé son nez tôt le matin, il faisait si noir dans la pièce que Sabatino avait du mal à distinguer mes traits et mon teint blafart. il prit alors l'initiative d'ouvrir le rideaux qui à son avis avait du être trop longtemps fermé. La lueur entra alors dans la pièce et la clareté me frappa aux yeux si fort que je fut obligé de les fermers. J'avais la barbe mal rasée, les cheveux en bataille qui exprimait mes nuits tourmentées, Le regard vide et triste soutenus par d'énorme cernes devenue presque noire. Mes vêtements étaient plus que sales et si mes souvenirs était bon c'était ceux que j'avais porté à ma sortie de prison. Je ne m'étais plus lavé depuis quelque jours maintenant et le fait que Sabatino me voit tel un Sdf, me mit mal à l'aise!

Sabatino | Santa Maria! Mais à quoi tu ressembles là...Toujours cette nana hein? Pauvre fou tu ferais mieux de l'oublier à l'heure qu'il est elle est surement en train de s'envoyer en l'air avec ... ok ... Ok j'ai rien dit pas la peine de me regarder comme ça...Allez va te faire une beauté, l'avion décolle dans quelque heures...
Guillermo | Je n'irais pas!
Sabatino |Oh mais tu es fou! j'ai dis au boss que je te ramenais, il faut que je te ramène! Allez tu ne va pas rester là, entre les rats et les cafards! Et puis tu sais Syracuse c'est très beau, ca va te changer les idées tiens!
Guillermo| Syracuse?
Sabatino |Oui... tu es déjà allé?
Guillermo | Moi non...
Sabatino | Alors pourquoi cette lumière dans tes yeux?
Guillermo | Cierra à de la famille làs-bas...peut-être qu'elle y sera...
Sabatino | Mais laisse tomber cette nana! J'étais là à cotés de toi quand tu à lu les papiers du divorce! Elle ne veut plus de toi! tu ne peux tout de même pas la forcer de t'aimer...
Guillermo | la forcer non! La convaincre oui!

La voilà ma chance. Elle ne répondait plus à mes appels, ni à mes mails, et impossible de la trouver à Milan. Je me suis souvenu qu'elle allait de temps à autres rendre visite à sa famille restée à Syracuse. Elle était sûrement là bas! Il n'y avait d'ailleurs aucun doute là dessus. De surcroit il me fallait un nouveau Job, et même si celui là nétait pas très gratifiants, il me fallait de l'argent, beaucoup d'argent si je voulais lui sortir le grand jeu. J'était devenu l'antipode de ce que j'était, moi qui avait tant d'année servit mon pays, je venais aujourd'hui à travailler pour la mafia. Moi qui était cet homme coquet et imbu de sa personne, je n'était plus qu'un misérable torchon qui en l'espace de trois ans en avait pris dix. C'était décidé, je ferais ce sale boulot jusqu'à ce que j'ai pu récuperer Cierra. Ensuite, nous partirons au caraïbes, comme une deuxième lune de miel, l'on reviendra à Milan et on ne devra plus jamais se séparer. Tiens j'arreterais même de boire, et pourquoi pas de fumer... et puis on aura des enfants... Beaucoup d'enfant! On les verras grandir, sans sa lacher la main une seule seconde, on vieillira ensemble jusqu'au dernier souffle de mon existence et mes dernière paroles seront pour elle.
Sabatino me fit sortit de mes songes et dans cet élan d'optimisme, je m'empressait de rejoindre la salle de bain. La transformation fut stupéfiante. Rasé de près, coiffé au gel, et dans mes plus beau vêtement je reprenais goût à la vie. J'hésitais à remettre ce parfum qu'elle m'avait offfert juste avant notre séparation, mais après avoir effleuré la bouteille des doigts je m'en aspergea le cou.

Sabatino | Bellisimo! Bon allez pas le temps de ranger, on appellera les dératiseurs!

Je refermais la porte à double tour dernière moi, comme si j'arrachais les pages du livre, ou Guillermo n'était plus qu'un déchet. J'ouvrais à présent le prochain chapitre.
Quelques heures plus tard, l'avion atterissait à Syracuse. Sabatino m'avait parlait de mon futur job sans même reprendre sa respiration. Je l'avais écouté d'une oreille, me focalisant surtout sur le moment ou je reverrais Cierra. Avait t'elle changé physiquement? J'était sur qu'elle était toujours aussi belle, comme cette première fois ou je l'ai vu sur le seuil de cette porte. Une fois sortit du Terminal un chauffeur nous attendait. Une longue berline noire aux vitres teintées qui devait couter à elle seule tout ce que je n'avais pu dépenser en une seule vie. le chauffeur ne m'adressa pas un mot et ne pris même pas la peine de me regarder une seule fois. La route était longue et ces dernières émotions m'avait fatiguée, surtout que Sabatino continuait de parler et que sa voix n'était plus qu'un bruit sourd. le sourir au lèvres, je sentait mes paupières se fermer et le royaume des rêves m'appeler.